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26 août 2007

GIONO, Le hussard sur le toit ***

De Jean Giono

Quatrième de couverture :
Un jeune carbonaro piémontais, colonel de hussards, riche, beau, noble, pur et naïf (tous les atouts ; c'est là qu'est le jeu), réfugié en France à la suite d'un duel politique, retourne dans son pays en traversant le choléra de 1838 qui désole la Haute-Provence entre Aix et les Alpes. La contrée est pluscouverte de morts qu'un champs de bataille. Le jeun homme confronte sans cese ses qualités et sa passion à la passion des autres qui est ici l'égoïsme à l'état pur. (Sauf pour un seul personnage u'il manque)
Dans cet admirable roman, le chef-d'oeuvre peut-être de Jean Gino, on ne voit qu'un jeune hussard qui voyage au milieu de milles drames, mais ce jeune homme a un tel caractère, ses actions sont si enthousiasmantes et le tout est raconté avec un tel art, qu'on se dit que Stendhal et Balzac ont trouvé leur successeur.

Mon avis :
Génial !
Enfin un vrau héro : humain, qui a peur d'en aire trop, qui veut se battre pour ses idées, généreux, qui vise l'idéal.
L'histoire peut se rapprocher du Rouge et le Noir et l'Education sentimentale, par son jeune héros qui traverse de nombreuses épreuves (ici le choléra) mais vise à quelque chose de plus grand, son idéal. Seulement pesonnellement , je préfère nettement le hussard, beaucoup plus humain et moins descriptif à mon avis.
Une des particularités de ce roman, à mon avis toujours (oui, il s'agit bien de "mon avis") est le faible usage de nom : la jeune fille est rarement nommée Pauline (4 fois au plus), mais cela peut permettre de plus s'identifier, cela peut être n'imorte qui, le nom importe peu.
Aussi le début es particulier, plusieurs personnages sontpris tour à tour en personnage central, on suit les actions de tous, sans toujours trouvé les liens, puis l'auteur se concentre sur le hussard. Même si cela aurait pu paraitre fastidieux de toutes les 15 lignes changé de centre, cela ne choque pas et ne gene pas. Cela mintre même l'égoïsme de tous (sauf peut-être la marquise), ce qui les rendent inaptes à être le héros, ce qui oblige à se concentrer sur le hussard.

Première phrase (j'ai beaucoup aimé) :
L'aube surprit Angelo béat et muet mais réveillé

Aussi je viens d'apprendre qu'il s'agir d'un cycle ! Donc je vais essayer de m'empresser : de trouver les livres (quelqu'un connait un bouquiniste sur Orléans ou sur Paris, dans le 12e ou 13e ???), puis de les lire (quelqu'un saurait où on peut trouver du temps ???)

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