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1 septembre 2007

FITZGERALD, Gatsby le magnifique **

De Francis Scott Fitzgerald

Gatsby le magnifique

Quatrième de couverture :
Dans le Long Island des années vingt, la fête est bruyante et la boisson abondante. Surtout chez Jay Gatsby. Aventurier au passé obscur, artiste remarquable par sa capacité à se créer un personnage de toute pièce, Gatsby, figure solaire par son rayonnement, lunaire par le mystère qu'il génère, est réputé pour les soirées qu'il donne dans sa somptueuse propriété. L'opulence, de même que la superficialité des conversations et des relations humaines, semblent ne pas y avoir de limites. C'est pourquoi l'illusion ne peut être qu'éphémère.

Parmi les invités de cet hôte étrange se trouve Nick Carraway, observateur lucide qui seul parvient à déceler une certaine grandeur chez Gatsby, incarnation de multiples promesses avortées. Ce roman visuel qui se décline dans des tons d'or, de cuivre et d'azur, s'impose également comme la chronique d'une certaine époque vouée, telle la fête qui porte en elle son lendemain, à n'être magnifique que le temps d'un air de jazz.

Mon avis :
Etrange, si on tient la première moitié (où il ne se passe pas grand chose, présentation des personnages, des lieux, des fêtes de Gastby) on tient tout le livre car la deuxième partie a plus d'action, révélation, trahison, amour, argent, meurtre ! Très américain, digne d'une série come Desparate housewifes, plutot Desparate Gatsby !
un classique américain à lire.

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26 août 2007

GIONO, Le hussard sur le toit ***

De Jean Giono

Quatrième de couverture :
Un jeune carbonaro piémontais, colonel de hussards, riche, beau, noble, pur et naïf (tous les atouts ; c'est là qu'est le jeu), réfugié en France à la suite d'un duel politique, retourne dans son pays en traversant le choléra de 1838 qui désole la Haute-Provence entre Aix et les Alpes. La contrée est pluscouverte de morts qu'un champs de bataille. Le jeun homme confronte sans cese ses qualités et sa passion à la passion des autres qui est ici l'égoïsme à l'état pur. (Sauf pour un seul personnage u'il manque)
Dans cet admirable roman, le chef-d'oeuvre peut-être de Jean Gino, on ne voit qu'un jeune hussard qui voyage au milieu de milles drames, mais ce jeune homme a un tel caractère, ses actions sont si enthousiasmantes et le tout est raconté avec un tel art, qu'on se dit que Stendhal et Balzac ont trouvé leur successeur.

Mon avis :
Génial !
Enfin un vrau héro : humain, qui a peur d'en aire trop, qui veut se battre pour ses idées, généreux, qui vise l'idéal.
L'histoire peut se rapprocher du Rouge et le Noir et l'Education sentimentale, par son jeune héros qui traverse de nombreuses épreuves (ici le choléra) mais vise à quelque chose de plus grand, son idéal. Seulement pesonnellement , je préfère nettement le hussard, beaucoup plus humain et moins descriptif à mon avis.
Une des particularités de ce roman, à mon avis toujours (oui, il s'agit bien de "mon avis") est le faible usage de nom : la jeune fille est rarement nommée Pauline (4 fois au plus), mais cela peut permettre de plus s'identifier, cela peut être n'imorte qui, le nom importe peu.
Aussi le début es particulier, plusieurs personnages sontpris tour à tour en personnage central, on suit les actions de tous, sans toujours trouvé les liens, puis l'auteur se concentre sur le hussard. Même si cela aurait pu paraitre fastidieux de toutes les 15 lignes changé de centre, cela ne choque pas et ne gene pas. Cela mintre même l'égoïsme de tous (sauf peut-être la marquise), ce qui les rendent inaptes à être le héros, ce qui oblige à se concentrer sur le hussard.

Première phrase (j'ai beaucoup aimé) :
L'aube surprit Angelo béat et muet mais réveillé

Aussi je viens d'apprendre qu'il s'agir d'un cycle ! Donc je vais essayer de m'empresser : de trouver les livres (quelqu'un connait un bouquiniste sur Orléans ou sur Paris, dans le 12e ou 13e ???), puis de les lire (quelqu'un saurait où on peut trouver du temps ???)

26 août 2007

SARTRE, Les mots **

De Jean-Paul SARTRE

Les Mots

Quatrième de couverture :
"Le lecteur a compris que je déteste mon enfance et tout ce qui en survit." Loin de l'autobiographie conventionnelle qui avec nostalgie ferait l'éloge des belles années perdues, il s'agit ici pour Sartre d'enterrer son enfance au son d'un requiem acerbe et grinçant. Au-delà de ce regard aigu et distant qu'il porte sur ses souvenirs et qui constitue la trame de l'ouvrage et non pas son propos, l'auteur s'en prend à l'écrivain qui germe en lui. Pêle-mêle, il rabroue et piétine les illusions d'une vocation littéraire, le mythe de l'écrivain, la sacralisation de la littérature dans un procès dont il est à la fois juge et partie. Ainsi, "l'écrivain engagé" dénonce ce risible sacerdoce, cette religion absurde héritée d'un autre siècle.

Mon avis :
Je ne m'attendais pas du tout à un récit autobiographique, plutot à une sorte de dictionnaire.
Au final, pas mal (nettement meiux que Enfance de Nathalie Sarraute), mais sans plus. La découverte de la lecture puis de l'écriture. Cette lecture ne laisse pas de souvenirs marquants, surement à relire plus attentivement !!

26 août 2007

FLAUBERT, L'éducation sentimentale *

De Gustave FLAUBERT

L'éducation sentimentale

Quatrième de couverture :
- Adieu, mon ami, mon cher ami! Je ne vous reverrai jamais! C'était ma dernière démarche de femme... Et elle le baisa au front comme une mère... Elle défit son peigne; tous ses cheveux blancs tombèrent. Elle s'en coupa, brutalement, à la racine, une longue mèche. - Gardez-les! adieu! Quand elle fut sortie, Frédéric ouvrit sa fenêtre. Mme Arnoux, sur le trottoir, fit signe d'avancer à un fiacre qui passait. Elle monta dedans. La voiture disparut. Et ce fut tout.

Mon avis :
Ce roman d'apprentissage raconte la vie de Frederic Moreau, entre rêve de gloire, et d'amour, un amour fou et impossible pour une femme marié. Le héros navigue entre désillusion et moments de féliité.
Ce roman nem'a pas passioné, on pet suire les aventures de Frédéric sans émotion, des longues description et des rebondissements tardif font que je ne me suis pas passionnée pour l'histoire.
Même certains personnages secondaires sont à mon avis beaucoup plus intérressants que Frederic, comme le commis.
Quant au femmes et bien Rosanette semble ecervelée, Mme Dambreuse souhaite le luxe et Mme Arnoux est absente, seule Louise donne de la vie.

En conclusion un roman fastidieux pas enthousiasmant, dommage !

26 août 2007

STENDHAL, le Rouge et le Noir **

De Stendhal

Le Rouge et le Noir

Quatrième de couverture :
La jeunesse, l'ambition, la volonté d'être aimé au-dessus de ses moyens, ces vertus s'incarnent dans Julien Sorel, dix-neuf ans aux premières pages du roman de Stendhal. Fils du charpentier, le jeune homme devient précepteur chez les Rênal. Le tendre loup est entré dans la bergerie : commence alors une des plus exaltantes histoires d'amour qui soit. Louise de Rênal, son ainée, épouse de son employeur, mère des trois enfants à qui il enseigne le latin, succombe à son charme... Première partie de son éducation sentimentale qu'il poursuivra à Paris auprès de Mathilde de La Mole. Le tout au galop, jusqu'au bout, et crânement.

Mon avis :
Je ne m'attendais pas du tout à ça !!!
Déjà Julien Sorel (rien que le nom, très proche d'un autre ... !!), quel être horrible, il ne pense qu'à sa petite gloire, tiens, il est bon que je tombe amoureux d'une des deux, allez hop je suis amoureux de Mme de Renal, arivée à PAris : elle me hait, je l'aime, elle m'aime, je la méprise ! Il semble que l'amour n'est qu'un moyen d'arriver à sa gloire, d'atteindre ne certaine idée de lui-même, jusqu'à qu'il soit rattrapé par ce sentiment.
Ce qui est énervant aussi c'est sa froideur, il est toujours rationel, il réfléchit à ses sentiments les choisit !
A ces intrigues amoureuses s'ajoutent des intrigues politiques, bonapartiste, Julien semble opposé à tous, pauvre chou !!!
Néanmoins le livre se laisse lire, 2 moments m'ont vraiment plu : la conférence du russe sur la séduction avec les lettres a envoyé à tel moment à telle fréquence, ainsi que le procès, où Julien parait courageux et vrai !

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26 août 2007

KOLTES, Roberto ZUCCO **

De Bernard-Marie KOLTES

Roberto Zucco

Synopsis
Inspiré d'un fait divers, cette pièce déroule le parcours du tueur Roberto Zucco. Tout commence par une évasion d'une prison censée être extremement fermée. Après aoir tué sin pèree, il tue sa mère, rencontre une jeune fille dont l'histoire est aussibien développée, elle vient de perdre sa virginité, honte pour sa famille et surtout son frère. Dans un parc, une maison close, chez sa mère, chez la jeune fille Roberto Zucco fait des rencontres et tue.

« Un trajet invraisemblable, un personnage mythique, un héros comme Samson ou Goliath, monstres de force? abattus finalement par un caillou ou par une femme. »
Bernard-Marie Koltès

Mon avis :
Pas ennuyant du tout, à chaque scène le lieu change ce qui au début perturbe mais au final donne un certain rythme. La mise n scène s'appuie sur un jeu de lumière (d'après les didascalies), après l'avoir lu, j'aimerai bien aller le voir.
L'histoire en elle-même, d'abord celle de Roberto, tueur sans raison, il est horrible mais on s'attache à lui et puis la jeune fille aussi qui veut absolument le retrouver, qui est abandonnée par sa famille, vendue par son frère (même si elle le souhaite mais bon). La fin, la chute qui fait écho au début, achève vraiment la pièce en feu d'artifice, l'intensité dramatique est vraiment forte.

Même si la lecture perturbe (par la forme très différente du théâtre classique et l'histoire en elle-même), cette etrangeté m'a bien plu !

Aussi peit mot sur la pièce qui suit : Tabataba avec comme personnage central une Harley Davidson ! Aussi étrange avec une soeur qui demande à son frère de sortir, il le faut car tout le monde le fait, comme l'histoire de la jeune fille, cette histoire parle de sorte de tradition, qu'il faut respecté pour l'honneur de la famille, aussi bien !

26 août 2007

Retour

Retour de vacances pour moi, vacances riches en lecture donc je vais essayer de mettre à jour le blog, mais cela risque de prendre du temps !

6 août 2007

Vacances

Alors pendant les vacances, je n'ai personnellement pas trop le temps de mettre à jour le blog, entre les préparations pour la prépa et les moments où je ne suis pas chez moi, assez dur de trouver le temps !

Donc voici une liste des livres que j'ai lus, et dont je ferai l'article plus tard !

Pour le théâtre :
-Roberto Zucco de Koltès, étrange mais pas mal **
-La trilogie de Beaumarchais : Le barbier de Séville, Le mariage de Figaro, La mère coupable : les préfaces par Beaumarchais sont super bien, pour les pièce j'ai trouvé la dernière un peu moins bien mais toutes sont assez agréables : en moyenne **
-Le roi se meurt, Ionesco, génial ***

Littérature française :
-Le Rouge et le noir, Stendhal pas du tout ce à quo je m'attndais, mais bien **
-L'éducation sentimentale, Flaubert, un peu long et ressemblant à Stendhal *
-Les Mots, Sartre **

Philosophie
- Descartes, Le discours de la méthode, vraiment bien pour un livre de philo ***
- Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, j'ai abandonné !

25 juillet 2007

LAFAYETTE, La Princesse de Clèves *

De Madame de Lafayette

La Princesse de Clèves

Quatrième de couverture :
L'amour est le tout de la vie ; l'amour est impossible à vivre. Cette aporie est au coeur de La Princesse de Clèves. Elle ne s'applique évidemment pas aux formes multiples de la galanterie dont la cour du roi Henri II, sorte d'abrégé de la comédie humaine, donne le spectacle. Mais que peut-on appeler véritablement amour sinon le grand amour, vécu, selon des modalités diverses, par le prince de Clèves, par la princesse de Clèves et par le duc de Nemours ? C'est celui qui porte à s'absorber en l'être aimé ; celui qui aspire à la durée, exclut toute infidélité et ne peut concevoir sa fin, même dans la mort. Mais cet idéal, ce rêve est bousculé par les réalités de la vie. Qu'à cet amour fou ne réponde qu'un amour raisonnable, situation du prince de Clèves ; il n'engendre plus que malheur. Qu'un amour réciproque ne puisse s'épanouir sans infidélité, situation du prince de Clèves et du duc de Nemours : il perd alors sa pureté ; l'échec est inévitable. Au point que, devenue veuve et libre, et toujours amoureuse, la princesse ne peut que refuser le bonheur qui se présente, car il ne serait qu'illusion.Symphonie de l'amour, La Princesse de Clèves s'achève en poème de la condition humaine.

Mon avis :
Un grand roman d'amour ? Le premier roman moderne ? Pas convaincue.
D'abord les noms, on critique les romans russe qui ont tous trois prénoms utilisés chacun à tour de rôle, mais là ! Trois reines, une quantité de princesses et de princes horribles, des personnes qui sont apparentés, on s'en doute même pas, et des dénominations qui changent assez souvent, alors déjà, première difficulté : se retrouver dans la cour du roi Henri II !
Ensuite un roman d'amour où tout est purement platonique, le mari adore sa femme qui ne lui rend que du respect, puis cette derbière tombe amoureuse de duc de Nemours, cette fois c'est réciproque, malheureusement, la dame est vertueuse et sa vertu l'empêche de montrer son amour à son amant, qui lui change totalement d'attitude, de coureur de jupon, il devient sage ! c'est sympathique mais c'est long, et le récit de la vie à la cour avec toutes les intrigues, ce qu'il faut faire, ne pas faire, la religion, l'honneur.
Non je n'y suis pas sensible, peut-être trop abstrait !

25 juillet 2007

GIONO, Un roi sans divertissement ***

de Jean Giono

Un roi sans divertissement

Quatrième de couverture :
Le livre est parti parfaitement au hasard, sans aucun personnage. Le personnage était l'Arbre, le Hêtre. Le départ, brusquement, c'est la découverte d'un crime, d'un cadavre qui se trouva dans les branches de cet arbre. Il y a eu d'abord l'Arbre, puis la victime, nous avons commencé par un être inanimé, suivi d'un cadavre, le cadavre a suscité l'assassin tout simplement, et après, l'assassin a suscité le justicier. C'était le roman du justicier que j'ai écrit. C'était celui-là que je voulais écrire, mais en partant d'un arbre qui n'avait rien à faire dans l'histoire. »
Jean Giono.

Mon avis :
J'adore la quatrième de couverture et elle reflète le livre. Bon on ne comprend pas tout, mais cela est vraiment bien écrit, et l'histoire intéressante, le fait même de ne pas tout comprendre, personnellement m'a motivé pour lire le livre.
Aussi bien que ce ne soit pas séparé (en chapitre ou partie) on peut le considérer comme plusieurs histoires différentes. J'aime bien ce style et cette manière d'écrire, l'auteru nous balade avec lui dans ces histoires.
Bien sur il y a dans ce livre une critique mais ce n'est pas ce qui m' a le plus intéressé là.

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